La chute d'Atos
(…) aujourd’hui en très grande difficulté et dont l’action est tombée, en quatre ans, de 80 à 2 euros.
Sans surprise, je n’ai aucune sympathie pour cette société. Le bilan qu’en tire son ancien patron, Thierry Breton, est celui d’un financier. L’humain n’est cité qu’une fois dans l’interview, sous forme de platitude. Le sens donné à l’activité semble inexistant.
Les choses ont sans doute évolué en plus d’une décenie, mais cet article ne m’en donne pas l’impression.