Nov 26, 2014
Je n’entrerai pas dans la guerre vim vs emacs. Pour moi, c’est une question de goût et de préférences.
Une question plus pertinente : faut-il, en 2014, alors qu’on a quelques bons éditeurs à disposition, s’attarder sur un éditeur du passé? vim
vous offre une puissance assez inégalée, à condition de le maîtriser et de le configurer, ce qui est bien plus difficile que de bien connaître Eclipse ou IntelliJ (ProTip: préférez ce dernier à celui qui précède, héhé). vi
était obligatoire lors de mes études, selon l’adage : “le jour où vous serez devant un terminal avec rien d’installé, vous n’aurez pas d’autre choix que vi. Autant être préparé”. Même pas vim et encore moins gvim. Sans surprise, ce cas de figure ne s’est produit qu’une seule fois sur ma carrière, ce qui m’a procuré un sentiment de bien-être incomparable. L’investissement “de base” était donc pour moi réduit, puisque j’avais de toute façon déjà souffert lors des études.
La pratique est aussi, à mon avis, un mal nécessaire : plus qu’avec des outils plus simples, les raccourcis se perdent assez vite quand on ne l’utilise pas.
À vous de voir si cela en vaut la peine si vous débutez.
Dans l’affirmative, voici quelques références qui pourront vous être utiles. Mais si vous accrochez, attendez-vous à une expérience assez unique.
git
me suffit; pour le surplus, je passe par SourceTree ou IntelliJ.